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Coujo, coja ‘courge’

Coujo « courge; courge à sel; courge à poudre; nigaud »1 (Alibert). Étymologie : latin codia  un emprunt au grec κωδια qui désignait la tête du pavot2

et des parties d’autres plantes  avec la même forme et plus tard  le nom passe au vase du clepsydre. (Wikipedia) « horloge à eau ».

vase du clepsydre

La coujo prononcé [koutso, goutso, koudzo] etc. voir le Thesoc s.v. courge  désigne la courge ou citrouille, ensuite aussi une gourde ou dans les Cévennes une « poire à poudre ».

La  coujo salbadjo  est la bryone ou le navet du diable dont les fruits sont toxiques. Au figuré  le mot est aussi utilisé pour désigner la « tête », notamment dans la région toulousaine.

Nous trouvons plusieurs dérivés comme cougeto,  coujolon, coujou, coujoun  qui ont tous les mêmes sens que coujo.  Vous trouverez plus de données dans RollandFlore, vol.6, pp.19-21 (lien direct).

Tapez coujarasso  sous Google livres, vous trouverez plusieurs Flores anciens du Sud-Ouest de la France.

Cette famille de mots n’existe que dans le sud du domaine galloroman.
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  1. Définitions données par Alibert.  J’ignore ce qu’est une courge à sel; une courge à poudre  doit être une poire  à poudre.   Je ne peux m’empêcher de faire remarquer que le graphie coja  est uniquement attestée au Moyen Age et des siècles plus tard dans la graphie dite classique. C’est encore plus  aberrant que l’orthographe du français qui reflète également la prononciation du Moyen Age, mais qui est utilisée pendant des siècles, tandis que en occitan  Pèire Godolin (1580-1649)  écrit déjà  coujo.  Le médecin J.Tournon, écrit dans sa Flore de Toulouse en 1811:L’abbé de Sauvages écrit coujho coujheto  au XVIIIe siècle. Pour plus d’information voir mon article Comment écrire mon occitan.
  2. En cherchant pour le site de Plantuse les sources de RollandFlore, j’ai trouvé plusieurs éditions de Matthaeus Silvaticus, Opus pandectarum medicinæ, Venetiis, 1540.  et la codia  s’y trouve avec le sens « graines de pavot »: avant-dernière ligne de la première colonne

tougno, tougnol "pain de maïs"

Ci-dessous un tougnol moderne de l’Ariège, photographié par La dormeuse à Mirepoix.

tougnol Mirepoix

C’est un article de La dormeuse qui m’a poussé à écrire cet article:

C’est ce tougno qui m’intéresse ici, car, quoique dans une version améliorée comme celle du millas, déguisée, parée, toute faite de lait et de sucre, et de graines d’anis, il se mange toujours à Mirepoix, sous le nom plutôt audois de tougnol.La tradition veut que le tougno ait été au temps de la croisade le pain des Cathares, i. e. celui que les Bonshommes et les Bonnes Femmes portaient dans leur sac et, commémorant ainsi le dernier repas du Christ, partageaient en tant que compains sur leurs chemins d’infortune. “Insipide, lourd et sans levain”, ce pain-là depuis longtemps ne se trouve plus. Le tougnol actuel relève de la pure friandise. Ce qui compte toutefois, aujourd’hui comme hier, c’est de se souvenir qu’on ne se nourrit pas seulement de pain terrestre, mais aussi de symboles.

Alibert propose la graphie tonha « pain de maïs ou de seigle ».    Mistral écrit Tougno  voir tonio dans son Trésor:

Le lien sémantique entre « femme stupide » et « pain de maïs » n’est pas facile à établir.  Aussi le FEW les a considérés comme homonymes. Pour tougno  « sorte de pain » il suppose une base onomatopéique to(u)gn- qui a abouti à un verbe tougnar “presser, du poing, tasser, frapper” , le dérivé entougnà “emplir en pétrissant” et au figuré le substantif tougne avec les sens “bosse, bigne; motte épaisse plus ou moins ronde, petit pain rond”. Tout cela en béarnais. Dans le Val d’Aure capitougno s.f. “grand pain” et en aragonais toña grand pain de seigle”1 .

Alibert  a eu raison de faire un deuxième  article tougno  et il a aussi changé la  graphie : tòni m.  tònia  f. « Pierrot, coiffure de femme; benêt; nigaud; étron; ver des châtaignes ». Tonias, toniet  « id. »  Etymologie latin Antonius. Voir l’article Tougno « Antoinette ».

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  1. Alibert propose :du latin tundia  de  tundere ‘battre à coups redoublés » d’où « pétrir »,  mais ce tundia n’est nulle part attesté

acatar, recatar

Acaptar, acatá 1.v.tr. « ranger, couvrir ». 2. v.r. « se baisser, s’accroupir, se tenir coi ». Pour des raisons phonétiques le FEW  suppose une forme latine *coactitare « presser, serrer » à l’origine des formes occitanes et franco-provençales avec un -t-, comme p.ex. en Lozère cata « couvrir » ou acata « couvrir »  attesté à Avignon.   Au XVIe siècle acaptage, acatage signifie « couverture ,  vêtements d’hiver »  en  languedocien. A St.-André-de-Valborgne (Gard) le catage s.m. est « l’édredon ».(Thesoc). Il n’y a pas si longtemps on invitait un visiteur   à  Manduel  ainsi:  « Achevez d’entrer, enlevez les acatages et remettez-vous « .

A la même famille appartient le mot recaptar, recatar « ramasser quelque chose qui traîne » .
Le sens du verbe réfléchi se recatà « s’endimancher;  se marier » (Manduel) n’a rien à voir avec le sens du verbe transitif! ! mais est lié au sens ‘vêtements’ du mot acatage
En français régional nous trouvons récate « provision de bouche; plat de résistance » que Lhubac explique ainsi : »ce qui a été mis de côté par précaution ».  Nous le retrouvons en ancien occitan recatar « cacher  » (Avignon, 1465). Recata (Manduel), lang. recate « économie, soin » , et à Millau cato-musso ‘ colin-maillard ‘ proviennent tous d’un sens « mettre de côté ».

Est-ce que  récaté « être mort » (Lhubac) s’est développé à partir du sens « couvrir »?

Le sens  « se tapir  comme un chat »  (Andolfi) me semble de l’étymologie populaire en le rapprochant du mot cat chat ).Cf. cach.

A la même famille de mots appartient acapta, acato « pierre de couronnement » (terme de maçon) , celles qui forment le cordon d’un mur de clôture ou de terrasse; on le fait avec de grandes et larges pierres surtout pour affermir des murs en pierre sèche » (abbé de Sauvages). C’est la pierre qui couvre. Dérivé du verbe acatá.

Je ne connais pas l’origine du -p- dans la graphie dite classique dans acaptar, recapta.

Christian Laval, informant fidèle, m’écrit:

Bonjour,
L’autre jour ma mère m’a dit: « Je l’ai récaté« …
A Montpellier « récater » s’entend comme « mettre de côté« , « cacher« , « garder pour plus tard »; ce qui confirmerait l’origine supposée: « L’étymologie est d’après le FEW un verbe non-attesté *coacticare « cacher »« 
Bonne continuation.

Orthographe de votre dialecte ?

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L’orthographe de votre dialecte , ou comment écrire mon patois ?

Il y a deux réponses possibles à cette question  que de nombreux visiteurs me posent,:

1. Appliquez la graphie mistralienne ou la graphie classique, la norme de l’escola de Pau pour le vivaro-alpin et les vallées occitanes en Italie et la norma bonaudiana. pour l’auvergnat.

Autrement dit :Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.1

Vous pouvez trouver toutes les règles de la prononciation correspondant à la graphie « classique » dans un site en occitan de Wikipedia.  Pour l’appliquer  il faut aussi connaître l’étymologie. Par exemple : « Quandll-  vient  d’un étymon  avec  tl, dl, ld il faut l’écrire avec – tl-. » A Nîmes on prononce amenlier mais on écrit ametlier.

 

Solution du problème!
2. Ecrivez comme vous parlez. C’est le conseil que je donne en général, si les personnes en question ne disposent ni du Trésor de Mistral, ni du Dictionnaire Occitan > Français d’Alibert ou s’ils veulent que leur écriture reflète leur occitan à eux. Dans ce cas les Nîmois doivent écrire  amenlier.

 Comment écrire mon occitan à moi? Une réponse se trouve dans la brochure du Professeur Ernest Schüle de l’Université de Neufchâtel, Comment écrire le patois? (principes et conseils pratiques) écrite pour les habitants de la Vallée d’Aoste en 1980 et dont une 2e édition a paru en 1992. Le mot patois n’a rien de dépréciatif! au contraire, voir mon introduction.

Dans son introduction Ernest Schüle écrit:

But: La propagande en faveur du patois a besoin d’une graphie facile à lire et facile à écrire. Il ne faut pas dérouter l’usager et éviter l’apprentissage d’un nouveau code mais utiliser au maximum les automatismes de l’orthographe qu’il connaît, à savoir l’orthographe française. En faisant cela nous suivons une tradition vieille de plus de 1000 ans.

Le choix qui s’impose est donc de se servir du code de l’orthographe française pour écrire en occitan.

Principes:

1.Ecrire le plus simplement possible. L’orthographe française ne permet pas toujours de rendre les sons de l’occitan. On en retiendra l’essentiel. Il ne s’agit pas de faire une graphie phonétique. Utilisez le clavier AZERTY français.

2.N’écrire que ce qu’on prononce. Une orthographe normative ou étymologisante (p.ex. français doigt pour douà  ou dwa) pose des problèmes insolubles à celui qui veut écrire l’ariègeois, le toulousain, le niçoud, le languedocien, le vivaro-alpin, le gascon , le nîmois, le beaucairois, etc.  Donc dans les Alpes-Maritimes on écrira frèi (froid) et dans le Tarn-et-Garonne fret, et frè, frèi ou frèit dans la Gironde.

3.L’accent tonique. Contrairement au français, les mots occitans ont un accent tonique à une place fixe : la dernière syllabe quand le mot se termine par une consonne ou par une diphtongue, dans les autres cas l’accent tombe sur l’avant-dernière syllabe.. En général il n’est pas nécessaire de le noter graphiquement.


Les voyelles
.

Les voyelles orales : a é è o i u ou eu auxquelles il faut ajouter les voyelles nasales, an in on un oun eun bien que la nasalisation en occitan n’ait pas les mêmes caractéristiques qu’en français. Si cela est utile vous pouvez y ajouter les nasales én, èn et ûn. Ce dernier remplace un pour indiquer que vous prononcez un -u- (comme en français pur) nasalisé et non pas comme –un en français Verdun, parfum. La même remarque vaut pour la graphie –in. Si vous prononcez vin comme en français vin, avec un è nasalisé il faudra écrire vèn,  surtout si dans votre région  on ne prononce pas de la même façon  vèn  « vient » et vîn  « vin ».  Ceci est très important pour les poètes.

A, a : que le a porte l’accent ou non, si vous le prononcez à peu près comme le a français vous écrivez a . Par exemple : si vous prononcez luna (Clarensac) »lune », vilas « villes », flama « flamme », cap « tête », passat « passé », si vous prononcez luno etc. écrivez luno, vilos, flamo ou flambo etc.

É, é : que le é porte l’accent ou non, si vous le prononcez à peu près comme le é français (comme chanté) vous écrivez é.

È, è : que le è porte l’accent ou non, si vous le prononcez à peu près comme le è français (comme père), vous écrivez è.

e : le -e- » muet  » du français n’existe pas en ocitan. Il est toujours prononcé et il a des valeurs qui varient selon les localités. Ecrivez e. Nou suivons ici l’exemple de l’italien, comme par exemple dans pane « pain », où le e est prononcé comme le français.

Quand vous prononcez le même son que le -e- muet français, notamment sous l’accent, comme dans « à la queue leu leu, meuf , deux et même peur, Europe, écrivez -eu-.

I, i représente le son i comme en français il dit.

O, o a les deux prononciations comme en français, par exemple pot et porc. Eventuellement vous pouvez distinguer les deux sons, ouvert et fermé, en utilisant l’accent circonflexe ^ pour marquer le o ouvert ô, ou bien écrire un ò avec l’accent grave, mais il ne se trouve pas sur le clavier AZERTY. Il fait partie des « caractères spéciaux ».

U, u représente le son u comme en français pu, pur.

OU représente le son ou comme en français pour, cou.

Les diphtongues et triphtongues

Les diphtongues et triphtongues sont écrites comme les voyelles et semi-voyelles qui les composent, par exemple : èi = è + i, oi = o+i, aou = a + ou,
oou
ou ôou = o+ ou , ièi = i + è + i, ieu = i + eu, ièou = i + è + ou etc.

La semi-voyelle y et la semi-consonne -lh-

La graphie y représente le son du y comme en français payer, ou -ill comme dans fille, bouillir. (Attention ce n’est pas le même son que le l mouillé comme en italien figlio ou l’espagnol  llama. Nous suivons Alibert et proposons d’écrire ce son -lh-  pour le l mouillé comme en italien. Une autre possibilité est d’écrire -ill mais parfois il faudrait écrire -ieiilli- et cela fait drôle.

Les consonnes

Même principe que pour les voyelles : appliquez les codes de l’orthographe française. Evitez le k et le w sauf dans des mots qui présentent ces signes en français, comme kilo, wagon.

B, b ou V,v écrivez comme vous le prononcez. Une grande partie des Occitans auront du mal à choisir, comme les Catalans, qui distinguent le b– de Barcelona du b- de Valencia

C,c ou G,g suivi de a, o, u ou une diphtongue qui commence avec a , o , u et prononcé comme ca-, ga en français casse, gagner, écrivez c ou g. Par exemple can « chien » caoussoun « chausson », gal « coq », gaoug « joie, plaisir ».
C,c ou G,g suivi de e,i et prononcé comme qu-, gu en français qui , guise, est écrit à la française qui, gui; que, gue, . Par exemple, qui, quichar « presser », guidar « guider », guerdon « récompense ».

Dans les parlers Nord-occitan surtout, le c et g du latin se sont palatalisés et on prononce tch, ts, dz, dj, ch, j Rien de plus simple que de les écrire comme cela. Par exemple vilatche ou viladje « village », chabr « chèvre » (Vienne), mais cabro (Aveyron).

D,d si vous prononcez comme en français deux

Dj, dj comme en anglais John  (mettez vos haut-parleurs et cliquez sur « listen »), ou en italien giorno.

F,f si vous prononcez comme en français fête, fanfaron

H,h seulement quand vous le prononcez dans votre occitan, ce qui doit être rare, comme en anglais hip hop, ou en allemand Haus. Normalement le h sert à indiquer la mouillure du l et du n : lh et nh.

J,j a la même prononciation que j en français jour;

K, k, seulement dans des mots internationaux comme kilo

L, l si vous prononcez comme en français laver, baladeur

M, m si vous prononcez comme en français maman, aimer

N, n si vous prononcez comme en français nana.
Après une voyelle le -n indique la nasalisation.
Pour rendre le son -gn- comme en français agneau, nous suivons Alibert et conseillons d’écrire -nh- , par exemple anhèl « agneau ».

P, p si vous prononcez comme en français papier

Qu, qu, sert à écrire le son k devant e ou i.

R, r Vous le prononcez roulé ou guttural, vous l’écrivez r. Eventuellement vous marquez la prononciation dans une note.

S,s Nous préconisons de suivre les règles du français (et d’autres langues). s en position initiale, finale, devant ou après un consonne correspond au s comme prononcé en français sang. Par exemple sal, festa, bas, dansar, Fransa, fransés, fransésa.
Devant é, è, e et i le son s est souvent écrit c. Il est en effet conseillé de maintenir cette irrégularité pour ne pas dérouter le lecteur. On peut écrire fasil pour facil et sèl « ciel », selar « celer, cacher » sercle « cercle » mais trop de simplicité nuit à la simplicité.
Vous pouvez aussi maintenir le ç dans les cas où le français le fait puisqu’il est sur le clavier AZERTY.
Le même son s’écrit deux ss- quand il se trouve entre deux voyelles, par exemple bassa, grossa.

Le son z prononcé comme en français base est écrit s comme en français, entre deux voyelles, et z dans les autres cas

T,t si vous prononcez comme en français tête

V, v voir ci-dessus sous B

Z, z est utilisé comme en français.

Consonnes doubles.

Si vous avez le sentiment que l’écriture d »un seule consonne ne rend pas la prononciation prolongée ou double de votre parler, vous en écrivez 2. Par exemple mama a une prononciation différente de mamma, pate <> patte. Suivez votre intuition, c’est aussi simple que cela!

Si vous voulez approfondir la question :

Lire d’abord l’article de René Merle:

René Merle – Orthographe du provençal – 1987 « Le son et la lettre, ou l’impossible graphie de l’idiome natal », (suivi de textes dont un texte inédit d’Honnorat).

et les arguments aussi dans l’article La Langue Provençale Polynomique .

Commentaires des visiteurs:

Aredius (lefenetrou.blogspot.com henri.habrias@univ-nantes.fr) m’écrit : « Olala ! vous allez provoquer la grogne des occitanistes. Je me suis fait incendier parce que j’utilisais le terme « patois » (considérant lorsque j’écrivais mes mémoires que « occitan » aurait été un anachronisme. Jamais je n’ai entendu ce terme en Limousin (Saint-Yrieix-la-Perche) et Périgord (Excideuil) dans les années 50, 60. J’ai découvert « l’Occitan » à Montpellier en 1970.
http://lefenetrou.blogspot.fr/2007/01/lo-gerbo-baudo-lous-magnacaous.html

Un auteur des environs de Châlus Fernand Murguet a fait l’objet de bien des critiques
http://lefenetrou.blogspot.fr/2008/08/critiques-du-livre-de-fernand-mourguet.html

J’ai répondu: « Occitan » désigne tous les parlers du Midi, mais les « Occitanistes » l’ont dévié. Imposer une graphie étymologisante et archaïsante à tous ceux qui parlent encore un occitan local me semble inefficace et élitiste. Mistral n’a pas fait cela. Il suffit d’ouvrir son Trésor.

Eleno m’écrit: Merci, merci de le dire. Et puis il est temps de cesser la gue-guerre entre « occitanistes et provençaux ». L’essentiel n’est-il pas de parler notre belle langue d’o? d’autant que si la graphie change, la prononciation reste la même…. J’utilise quant à moi la graphie de Mistral qui me semble la plus simple. Après, on peut se promener ailleurs et comprendre tous les textes. J’ai lu récemment un livre écrit en parler du Rouergue « contes de Siblot » de l’Abbé RICON de LAURENS, pratiquement sans problème, et je me suis régalée!
à bèn lèu, Elèno.

Je l’ ai remercié : Merci de votre encouragement! Faites le savoir. Envoyez le lien de la page vers vos amis.
On peut écrire l’occitan sans consulter le dictionnaire pour chaque mot.et réserver l’écriture à une élite. Amistas!

  1. En moyenne les Français, pour ne pas parler des francophones en Afrique et ailleurs, mettent 2 ans de leur vie à apprendre l’orthographe de leur langue avec les résultats mitigés.